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N’importe quoi !
Le jeudi, je me suis octroyé le droit de faire n’importe quoi à partir de 12h30. Y compris d’écrire la chronique du jeudi, le vendredi.
Vous le savez sans doute, je joue tous les jeudis au théâtre Montmartre-Galabru à 19h30. Ça démarre seulement (ça fait deux mois) mais c’est bien parti, j’ai l’impression. Hier soir, c’était la troisième fois que la salle était pleine à craquer, c’est complet encore la semaine prochaine… Je croise les doigts pour que ça continue comme ça !
Pour ne pas rester à la porte, réservez en avance ici par exemple : //www.billetreduc.com/322928/evt.htm
(L’avantage pour moi si vous réservez sur ce site, c’est qu’après vous pouvez mettre un commentaire – élogieux !- qui me positionne un peu mieux parmi la multitude de spectacles parisiens…)
Alors oui, c’est bien parti mais que voulez-vous, à partir de 12h30, je suis incapable de faire du bon boulot. Cinq heures avant le show! Je vous assure que je n’ai jamais vécu ça.
Ah, si : peut-être pour le bac, déjà quelques années avant le jour fatidique, je n’arrivais pas à travailler. Le trac sûrement.
Alors, le jeudi après-midi, je m’occupe. J’essaie de faire mon courrier : impossible, je parsème mes mails de phrases qui n’ont aucun sens. J’essaie de lire : peine perdue, je peux rester bloqué quinze minutes sur le même paragraphe sans m’en rendre compte. Écrire de la musique, n’en parlons pas ! Mener une répétition, un désastre ! (Je promets à tous ceux qui ont pris rendez-vous pour répéter avec moi un prochain jeudi après-midi de faire le maximum !)
Hier, j’avais prévu de m’occuper, en écrivant un petit article… j’ai raté. Résultat, ce vendredi, je suis tout penaud, loin de mon ordinateur, juste mon portable pour écrire, incapable d’incorporer une photo, pfff ! N’importe quoi !
Mais hier soir, j’étais le plus heureux des hommes. D’abord parce que sur scène, je me suis éclaté, parce que dans la salle l’ambiance était topissime (cool, parce qu’on faisait une captation vidéo) et aussi parce qu’une fois sorti, je me suis aperçu de qui était venu, et que des amis chers, très chers m’avaient fait la surprise de venir et même pour certains de revenir !
Le pied !
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Et bien sûr, comme tous les jeudis (hum), nous continuons notre cycle “Un an de chansons” autour des poèmes de Jean-Luc Moreau. Cette semaine, visiblement, on a un problème d’heure, c’est peut-être ce qui explique le retard de cette chronique ?
